Réorganisation du jumelage

1973
Au début des années 70, l’idée de réconciliation entre Français et Allemands a commencé à s’immiscer en arrière-plan du jumelage. « Puisque cette vieille idée ne fonctionnait plus vraiment, nous avions besoin de justifier différemment nos rencontres, » expliquait ainsi 40 ans plus tard Eckhard Wulf.
C’est pourquoi, depuis le début des années 70, des délégations des deux villes se sont rencontrées pour échanger sur des thèmes actuels comme l’aménagement du territoire ou le marketing urbain. Chaque ville expliquait comment elle gérait pour sa part ces domaines, quels problèmes elle rencontrait et comment elle les abordait. L’objectif de ces conférences de travail était d’apprendre les uns des autres.
Le journal l’Est républicain titrait en 1973 avec euphorie : « Le jumelage Ludwigsburg – Montbéliard entre dans sa deuxième phase, celle de la réflexion« .
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« Cela m’a passionné. »

« Parce que cette vieille idée ne fonctionnait plus… »

L’étonnement allemand face aux écoles maternelles françaises

Heureusement qu’on ne s’est pas limité à un repas par an avec des flonflons…

« Les Français ont toujours réussi à mettre en avant le fil conducteur de la réconciliation franco-allemande. »

En souabe, on dit « un gâteau, une compote »
